Politique sociale | ANALYSE | publié le : 01.11.2001
| Valérie Devillechabrolle
Sur le papier, le bilan des emplois jeunes est positif : le cap des 350 000 est presque franchi. Mais, sur le plan qualitatif, c'est une autre histoire. Souvent utilisés comme bouche-trous par l'État, les jeunes ne veulent plus quitter le giron du public. Et, dans les associations, les « nouveaux services » peinent à se solvabiliser.
Dans le bilan du futur candidat Lionel Jospin, les 35 heures occuperont une place de choix. Mais les emplois jeunes devraient les talonner. Quatre ans après son lancement en fanfare à l'automne 1997, ce vaste programme d'embauche de jeunes de moins de 25 ans pour des emplois d'ut
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